Mylène Farcy dessine et tisse, empruntant à l’univers de la mode, la joaillerie, l’architecture. Cette manière de passer de l’un à l’autre, puis finalement à la construction l’impressionne. Fascinée par les espaces urbains interstitiels, ces lieux figés et squelettiques d’où se dégage une poésie. Elle aime le paradoxe, la rupture du regard. Elle passe aisément de la minutie, au brut dans lequel l’influence des arts premiers est une source d’inspiration notamment avec la figure animale: l’âme sauvage, l’instinct et les motifs graphiques des félins. Travail en série et motifs, hérité de ma formation artistique et technique.
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